PandasLAN

PandasLAN 2025 : une fin de semaine électrisante au Cégep de Saint-Jérôme

Du 6 au 8 juin, plus de 200 personnes passionnées de sports électroniques se sont réunies au Cégep de Saint-Jérôme (CSTJ) dans le cadre du PandasLAN, un événement alliant compétition, créativité et esprit de communauté. Tournois de jeux vidéo, kiosques de consoles rétro, marchands locaux, animation… tout était en place pour faire vibrer la scène des sports électroniques.

Le PandasLAN a réuni des joueuses et joueurs de partout au Québec pour une fin de semaine électrisante

Un avenir prometteur… à bâtir

La cérémonie d’ouverture a donné le ton à l’événement en soulignant l’évolution et la richesse des sports électroniques collégiaux.

« Le PandasLAN, c’est bien plus qu’une compétition. C’est un espace qui mobilise la concentration, les réflexes, la communication et un esprit d’équipe aiguisé. » — Alain Aubuchon, directeur de la vie étudiante au CSTJ.

Ce qui était autrefois perçu comme un simple loisir marginal est devenu, une discipline structurée, dynamique et porteuse. L’univers des sports électroniques collégiaux a gagné en maturité et en crédibilité, grâce à une communauté engagée et à des événements rassembleurs comme le PandasLAN.

François Savard, fondateur de la Fédération québécoise de sports électroniques, de la Ligue collégiale de sports électroniques et de la Fondation des Gardiens virtuels a tenu à rappeler que le développement de cette discipline repose désormais sur les épaules d’une relève passionnée :

« Ma génération a défriché le terrain. Celle d’après l’a emprunté. Et vous, vous êtes là pour construire ce qui vient ensuite. Rien n’est encore gagné, mais tout est possible. »

Louis-David Lalancette-Renaud, président de la Fédération québécoise de sports électroniques, abonde dans le même sens :

« Ce n’est pas un sprint, c’est un marathon. Et vous êtes la prochaine génération qui va faire grandir les sports électroniques au Québec. »

Une communauté mobilisée

Le PandasLAN n’aurait pas été possible sans une cinquantaine de bénévoles et membres du personnel du CSTJ et le soutien de partenaires comme la Fondation du Cégep de Saint-Jérôme, le Centre Informatique St-Jérôme et plusieurs commerçants de la région.

« Ensemble, nous avons pleinement réussi notre mission : offrir à la communauté une expérience à la fois unique, humaine et inoubliable ! » — Anouck Théorêt, responsable du programme des Pandas et membre du conseil d’administration de la Fédération québécoise de sports électroniques.

Cette fin de semaine a démontré, une fois de plus, que les sports électroniques sont bien plus qu’un simple loisir : c’est un terrain d’innovation, de socialisation et de développement personnel.