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Cégep de Saint-Jérôme/Pistes de réflexions

Pistes de réflexions

Nous te présentons ici quelques textes réflexifs qui peuvent contribuer à entamer et à alimenter ta réflexion personnelle.

Ils peuvent également t’aider à démystifier certaines idées préconçues entourant le monde de l’orientation et de la connaissance de soi. Il s’agit de bons exemples de thèmes pouvant être abordés et décortiqués entre ton conseiller et toi lors d’un processus d’orientation. Bonne lecture !


Comment on apprend à se connaitre?

On parle souvent de l’importance de la connaissance de soi quand il est question d’orientation, mais on aborde moins souvent la façon d’y arriver. Bien sûr, on peut s’arrêter et réfléchir à nos champs d’intérêt, nos valeurs et nos aptitudes, mais ces éléments ne sont pas figés dans le temps et se développent au fil de nos expériences. Ainsi, pour développer cette connaissance de soi, il est essentiel de s’impliquer dans des activités, expériences de travail, loisirs, etc.

Vivre des expériences significatives positives ou négatives nous permet de prendre conscience de ce qui nous stimule, de ce qui a du sens pour nous et donc de faire des liens avec les types d’activités qui nous motivent. À l’inverse, la personne qui ne s’implique dans aucune activité, ne s’engage dans aucune relation et ne fait rien de significatif peut difficilement arriver à se connaître. C’est dans l’action qu’on apprend à savoir qui on est…

Il faut donc développer sa curiosité, explorer de nouvelles avenues, changer ses habitudes, essayer des activités qui piquent notre curiosité et ne pas avoir peur d’aller de l’avant afin de vivre des expériences stimulantes et ainsi découvrir une partie de soi-même par la même occasion! Le Cégep permet d’avoir accès à des activités enrichissantes, c’est le temps d’en profiter.

 


Le développement du cerveau et l'orientation

D’importantes études scientifiques réalisées depuis une vingtaine d’années mettent en lumière une réorganisation majeure de la structure du cerveau à partir de la puberté. Ce développement s’effectue sur une douzaine d’années et a des impacts importants sur les fonctions exécutives du cerveau.

Ces fonctions permettent de sortir des habitudes, prendre des décisions et évaluer les risques, planifier l’avenir, prioriser des actions et faire face à des situations nouvelles.

– Psychomédia

Ainsi entre 12 et 25 ans (environ), l’humeur, la capacité à se projeter dans l’avenir et la capacité à prendre des décisions rationnelles peuvent être passablement affectées par cette longue étape de développement sans qu’on ait beaucoup de contrôle sur les effets négatifs qui y sont reliés.

Notre identité est en construction et il devient difficile de s’orienter durant cette étape de développement du cerveau. Malheureusement, c’est justement durant cette période qu’il faut faire des choix et prendre des décisions importantes concernant notre avenir. Le processus d’orientation avec un conseiller permet alors d’identifier les éléments essentiels de notre personnalité, faire des liens avec les intérêts, les valeurs, les aptitudes et de réfléchir de façon réaliste aux options à explorer.

*Voir la conférence de Sarah-Jayne Blakemore sur YouTube (cliquer sur CC dans l’image pour les sous-titres en français).

* Lire : Le cerveau de votre ado par Daniel J. Siegel

 


Attention au plan à long terme...

Bien que la planification de notre avenir soit une bonne chose à envisager, il est important de se garder une marge de manœuvre dans les échéances qu’on établit. Trop souvent, on se fixe des objectifs rigides qui ne sont pas réalistes et ne tiennent pas compte des aléas de la vie, des imprévus. Les personnes deviennent souvent anxieuses si elles se sentent en retard sur les projections qu’elles ont faites tôt dans leur vie sans tenir compte de l’ensemble des éléments qui peuvent perturber le cours des choses. Le sentiment d’urgence qui se met alors en place peut nous pousser à prendre des décisions à partir des attentes qu’on avait à un moment de notre vie où l’on n’avait pas toutes les connaissances nécessaires à la mise en place de ces projets à long terme.

En résumé, c’est une bonne chose de planifier notre avenir, mais il faut laisser une place à la possibilité de modifier nos projets pour prendre en considération les opportunités et les contraintes qui se présentent au fil de notre vie…

 


L’influence de l’entourage

Les gens qui nous entourent ont nécessairement une influence sur nous et notre façon de voir les choses. Souvent remplis de bonnes intentions, ils nous donnent leurs avis sur plusieurs sujets et les difficultés d’orientation ne font pas exceptions… Cependant, il est important de se rappeler que chaque personne est différente, que même nos proches ne connaissent qu’une partie de nous et qu’ils ne partagent pas toujours nos désirs, nos besoins et nos aspirations.

Que ce soit nos amis ou les membres de notre famille, ils nous donneront leur opinion sur la carrière qui nous conviendrait selon eux et parfois ils peuvent soulever des éléments intéressants qui nous échappaient. Dans toutes ces perceptions qui nous parviennent, il faut tout de même se mettre au centre de la réflexion, car c’est bien de VOTRE vie qu’il s’agit. Ainsi, ce sont vos intérêts, vos valeurs et vos besoins qui doivent guider votre processus d’orientation.

Bien sûr, tout ce questionnement intérieur peut paraître long et compliqué, mais il aura un impact majeur sur la suite de vos études et sur la carrière que vous choisirez. Ce n’est pas une perte de temps, c’est un investissement à long terme…

*Pour les parents, il y a une section sur le site de l’Ordre des Conseillers/ères d’orientation.


Les choix ne sont pas éternels!

C’est certain qu’il est difficile d’arrêter un choix qui implique le long terme quand on est dans une période de changement personnel. Le fait qu’on vive de nouvelles expériences, qu’on rencontre de nouvelles personnes qui nous feront voir de nouveaux horizons, que notre perception des choses se modifie, tout cela participe à ce que notre regard sur nous-même et sur divers aspects de la vie se modifie et influence nos décisions.

Il arrive parfois qu’on développe très jeune un fort intérêt pour une activité et qu’en plus on se rende compte qu’on possède de bonnes aptitudes pour exceller dans celle-ci. On le voit souvent dans le domaine des arts ou dans le sport par exemple. Certains en feront même une carrière. Cependant, on ne peut élargir cet exemple à l’ensemble des gens. Pour la majorité, au fil du temps, les expériences vécues auront une influence majeure sur la perception que les personnes ont d’elle-même et sur le développement de leurs valeurs et intérêts. Il faut aussi savoir que dans les faits, selon les années, entre 20 % et 40 % des étudiants de niveau collégial changeront d’orientation au moins une fois durant leur parcours.

Une forte proportion d’étudiants n’ont pas de projets clairs à leur arrivée au cégep. On a souvent l’impression d’être le seul à ne pas savoir où l’on va alors que c’est la majorité qui se questionne sur leur choix de carrière. Il n’est donc pas surprenant que le choix de programme soit remis en question et que les apprentissages et le développement personnel fassent en sorte que le cheminement scolaire ne soit pas une ligne droite, mais plutôt un méandre plus ou moins dirigé dans un sens précis.

Pas de panique, restons calmes et prenons le temps de cerner les éléments essentiels qui perdurent dans le temps et définissent notre identité. Dans cette étape du cheminement scolaire, il faut demeurer flexible et persévérer dans la quête des options qui nous conviennent (car il peut y en avoir plus qu’une seule…).

 


Comment découvrir ce que j'aime?

Isabelle Falardeau, conseillère d’orientation, écrivait : « S’orienter, c’est savoir qui on est et où on veut aller ». Ce que cela veut dire c’est qu’une identité clairement définie et la connaissance de soi sont des éléments essentiels à l’identification des intérêts stables, des choses qu’on aime et qui permettent d’aller dans une direction et faire des choix avec confiance. Or pour aimer quelque chose (une activité, un loisir ou une personne…) il faut avoir une certaine connaissance de celle-ci afin d’apprécier véritablement ce qu’elle peut nous apporter et la place qu’elle peut occuper dans notre vie. Trop souvent, c’est l’impression ou la perception qu’on a d’une activité, un emploi ou une personne qui influence nos choix ou nos décisions. On est parfois agréablement surpris par ce qu’on découvre tout comme on peut être assez déçu. Ce qu’on imaginait n’était pas conforme à la réalité.

Découvrir ce qu’on aime demande donc un certain temps et une certaine expérience. On se surprend souvent de prendre plaisir à une activité qu’on imaginait sans intérêt tout comme on peut s’ennuyer dans une autre pour laquelle on avait un préjugé favorable.

Lorsqu’il est question de choix de carrière, plus ou moins consciemment, on fera référence à des choses qu’on a faites, à des expériences vécues qui nous ont stimulés, dans lesquelles on a eu du plaisir et pour lesquelles on a certaines aptitudes. Ce qu’il faut retenir c’est qu’on peut identifier nos intérêts réels à partir des choses qu’on a faites et qui nous stimulent.

Il faut donc s’ouvrir à de nouvelles activités, développer sa curiosité et demeurer actif. Les personnes inactives sur une longue période peuvent avoir davantage de difficultés à connaître leurs intérêts et savoir ce qu’elles aiment vraiment. C’est pourquoi il est si important de mettre du concret dans notre réflexion, de faire des stages, d’être « étudiant d’un jour » dans un programme susceptible de vous intéresser, fréquenter les journées « Portes Ouvertes » des établissements d’enseignement pour poser des questions, ça vaut vraiment la peine.

 


L'anxiété est mauvaise conseillère...

Lorsqu’on est à l’étape de faire un choix de programme ou de carrière, il est fréquent de voir augmenter de niveau d’anxiété chez les étudiants. Souvent les enjeux sont surestimés, on a l’impression que notre vie est en jeu et que tout est si compliqué! Notre cerveau réagit comme s’il était face à un ours en plein milieu de la forêt! Malheureusement, l’état d’esprit dans lequel on se retrouve dans cette situation aura un impact majeur sur la qualité de la décision à prendre.

Ceci est encore plus vrai lorsque le délai du choix à faire est serré et qu’on a remis le tout à la dernière minute… La pression n’est pas toujours utile dans les circonstances et notre cerveau s’emballe avec toutes les choses à considérer.

Le résultat c’est qu’on finit par simplement faire un choix « de soulagement » pour mettre fin à cette obligation de prendre une décision difficile et à la pression intenable qu’on peut ressentir, en espérant que tout ira pour le mieux … et en essayant de s’en convaincre en même temps. Pourtant, ce n’est souvent que partie remise.

Dans toute cette situation, il y a deux choses essentielles à considérer; la première, c’est que la pression qu’on ressent est souvent issue de croyances non-fondée et d’influences de notre entourage (pressions familiales et sociales). Généralement ces personnes sont bien intentionnées mais leurs visions ne correspondent pas nécessairement à notre réalité. Elles nous voient dans des professions qui ne nous attirent pas vraiment et ne sont pas d’accord avec nos aspirations ou les choix qu’on voudrait faire (si on en a). Cependant, il est difficile de s’engager véritablement dans une formation lorsqu’on y va à reculons, sans pouvoir s’y projeter à long terme.

Quand la pression vient de l’entourage, il faut alors être en mesure de présenter notre point de vue, prendre le temps d’exposer notre situation, nos doutes et les raisons qui font en sortes que la décision à prendre doit tenir compte de nos intérêts et de nos valeurs. C’est parfois un exercice difficile mais il est aussi difficile de s’imaginer heureux dans une vie professionnelle choisie par quelqu’un d’autre…

Plusieurs croyances peuvent aussi influencer la réflexion concernant notre choix de carrière. Certains vont dire qu’il ne faut pas perdre de temps car on perd aussi de l’argent. Pour eux, chaque année de retard est une année de salaire perdue. Au plan comptable ce n’est pas faux, mais cela n’aide en rien à faire un choix pertinent et réaliste.

Trop souvent l’urgence suscitée par cette façon de voir fait en sorte qu’on prend des décisions inappropriées et qu’on recommence le processus l’année suivante. Pire encore, certains termineront un programme d’études sans y donner suite simplement parce qu’ils voulaient finir ce qu’ils avaient commencé, mais sans intérêts pour les métiers ou professions qui y sont reliées. On a vu des personnes faire de nombreuses formations successives sans trouver ce qui leur convenait seulement par urgence de ne pas perdre de temps… pas très efficace comme solution!

On doit donc se rappeler que l’orientation est un processus lié au développement personnel et qu’on n’a pas toujours le contrôle sur le temps nécessaire à sa mise en place. Si la prise de décision concernant ton orientation te rend anxieux-se, tu peux toujours venir en discuter avec un conseiller-ère d’orientation, on pourra sûrement t’aider à clarifier les éléments importants pour faciliter ta réflexion.

– Guy Perreault, Conseiller d’orientation


Entre le rêve et la réalité (pensées magiques)

Certaines démarches d’orientation peuvent être relativement simple et quelques informations pertinentes son suffisantes pour concrétiser un choix de programme ou de profession. Il faut souligner cependant que certains ont une vision un peu idéaliste de la démarche d’orientation et pour les cas plus complexes il faudra cependant y mettre un peu plus de temps.

Il nous arrive de rencontrer des étudiants qui espèrent que la simple passation d’un test d’orientation répondra à leur besoin et que le tout sera complété en deux ou trois rencontres! Cela arrive à l’occasion, mais on ne peut en faire une procédure formelle car la réalité est généralement plus complexe que la seule remise de résultats de test. Entre l’identification des intérêts, des valeurs et des aptitudes, en plus des mouvements importants du marché du travail, de l’influence de l’économie, des offres de formations différentes selon les régions, de la mobilité des étudiants et des ressources financières disponibles on peut se questionner longtemps sur les options gagnantes!

Bref, chaque cas est différent et si on se pose la question de notre orientation depuis quelques années sans y avoir trouver de réponse satisfaisante, il n’est pas garanti que le meilleur conseiller y arrivera en 2 ou 3 heures…

Dans les faits, s’orienter implique de construire son identité, la clarifier (entre autres dans un processus d’orientation) et la transposer en des termes professionnels. Ces différentes étapes peuvent demander un support plus ou moins régulier pour s’effectuer et le tout peut prendre un peu plus de temps que ce qu’on espérait… il n’y a pas de baguette magique ni boule de cristal qui prédit l’avenir!

– Guy Perreault, Conseiller d’orientation


Identifier nos valeurs et nos forces

Quand il est question de s’orienter, certaines personnes vont prioriser leurs valeurs comme éléments principaux à combler dans un métier ou profession. Les valeurs sont des motivations qui transcendent les situations spécifiques et guident l’action et l’évaluation des comportements et des événements. Elles sont classées par ordre d’importance plus ou moins consciemment.

Plus concrètement, on peut dire que lorsque les gens doivent prendre une décision concernant leur avenir, elles vont mettre de l’avant des considérations telles que le revenu désiré, le niveau de scolarité à atteindre, les postes de prestige ou le sentiment d’être utile par exemple. Alors qu’on a tendance à s’arrêter principalement aux intérêts pour aider les personnes à s’orienter, c’est davantage du côté des valeurs qu’il faudrait investiguer chez certaines d’entre elles. Parfois, la sécurité d’emploi, la distance à parcourir pour obtenir un travail ou le salaire espéré auront un impact déterminant dans leur prise de décision. On peut penser que pour ces personnes le besoin d’aimer son travail est moins important que les valeurs qui sont associées à un « bon » emploi. Il faut donc les aider à définir et à cerner les éléments qui sont importants pour elles.

Dans un autre ordre d’idées, les forces et faiblesses sont aussi des éléments à considérer. S’il est bien vu de travailler à améliorer ses faiblesses à différents niveaux, c’est sur nos forces (aptitudes) qu’il faut tabler pour améliorer nos chances de réussite tant au plan scolaire que dans une profession éventuelle. Peu importe le type d’employeur ou le secteur d’activité, les entreprises recherchent avant tout l’efficacité et la compétence chez leurs employés et ce sont ces éléments qui seront évalués lors d’une entrevue et dans un travail. Les matières dans lesquelles on réussit bien, les activités où l’on obtient de bons résultats et l’identification de nos talents doivent faire partie de notre réflexion dans un processus d’orientation.

 


La peur de se tromper et faire le « bon » choix

Une des principales peurs qui revient dans le discours des étudiants en démarche d’orientation, c’est la peur de se tromper dans le choix de programme ou de carrière. Comment être certain qu’on fait le bon choix? Pour répondre à cette question, il faudrait avoir autant de vies que d’options, toutes les réaliser et revenir en arrière en sachant laquelle s’est avérée l’option gagnante. Toutefois, on n’a pas la possibilité de revenir en arrière après avoir tout essayé.

Plusieurs analogies nous permettent de prendre conscience de l’erreur de raisonnement lorsqu’il est question de ne pas se tromper. Par exemple, comment est-ce qu’on sait qu’on a rencontré la meilleure personne pour partager sa vie? Comment peut-on savoir si l’entreprise pour laquelle je travaille est la meilleure pour moi? Encore une fois, il faudrait avoir le moyen de comparer les différentes options après les avoir essayés pendant un certain temps.

Bref, lorsqu’on doit faire un choix, il faut rassembler une bonne quantité d’informations sans se retrouver en surcharge, car une trop grande quantité d’information est aussi néfaste, que de ne pas en avoir assez. On peut devenir plus désorienté. Ensuite, il faut considérer ces informations et faire en sorte que celles-ci deviennent le plus concrètes possible. Le pire ennemi de l’orientation c’est la tendance à se baser sur l’image qu’on se fait d’un travail, un métier ou une profession sans prendre le temps d’aller vérifier dans la réalité en quoi le travail consiste réellement.

Il faut évaluer les faits importants de manière rationnelle et estimer les préférences (moins tangibles et plus émotives, mais tout de même réelles) afin d’établir un portrait de ce qui nous ressemble le plus, ce qui a un sens pour nous, ce qui comble nos besoins. Dans tous les cas, il faudra faire avec une part d’inconnu car même après avoir réuni le maximum d’informations, bien des choses peuvent arriver au fil du temps.

 


Au Cégep de Saint-Jérôme, on est plus grand, ensemble !

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